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Ronds de jambe en bord de mer
Ce week-end, le Temps d'aimer a débuté très fort. Suite du festival, ce midi, avec Pneuma dance theater
« On regarde droit devant, vers l'avenir », lance le chorégraphe à la foule rassemblée, en lui racontant au passage quelques anecdotes, en particulier sur les danses longtemps interdites (comme la valse), les bacchanales.
Qu'il dirige la gigabarre ou orchestre le Temps d'aimer, Thierry Malandain met du coeur à l'ouvrage et séduit les passionnés.
Scènes ouvertes
Le festival a débuté sur un tempo très fort, ce week-end avec le Ballet de Wiesbaden (vendredi), le Dansk Danse Teater danois (samedi), le Gotra Ballet (Pays-Bas) et le Ballet Royal de l'Opéra de Suède (hier soir).
On peut picorer un peu partout de la danse, de la médiathèque au cinéma le Royal. Mais des scènes ouvertes, comme au casino et au jardin public sont organisées.
Hier au casino, ce fut l'occasion de découvrir le travail des étudiants réunis par l'université de Pau et des Pays de l'Adour. Originaires de toute la France, ils ont travaillé en résidence à la Gare du Midi avant de se produire face à une foule de 500 spectateurs.
Suite du Temps d'Aimer à 12 heures au Jardin public avec le Pneuma Dance Theater. À 19 heures, au Colisée, la Cie Hors Série présente « Faut qu'on parle ! » avec Hamid Ben Mahi tchatche. Au Théâtre du Casino, à 21 heures, Pneuma Dance Theater (Italie), première française de Black garden.
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