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Mauleón retrouve la mascarade
Les mascarades vont reprendre du service du 3 février au 21 avril prochain...
Cette année, c’est Mauléon qui organisera la
mascarade. A la suite de la pastorale de Mauléon, les jeunes (et moins
jeunes d’ailleurs) avaient décidé de créer une association culturelle,
Urrats Berriak. Les danseurs de la pastorale ont donc continué à
progresser au sein de cette association et la mascarade est l’occasion
rêvée de montrer tout leur talent. Urrats Berriak a donc décidé de
faire le premier pas pour que Mauléon se lance dans l’aventure.
Une trentaine d’acteurs
Beñat Elkegaray, le président d’Urrats Berriak et un des organisateurs de la mascarade, nous confiait que "le plus dur a été de trouver suffisamment de jeunes motivés pour y participer, notamment des bascophones. Il est souvent plus facile de fédérer la jeunesse autour d’un projet dans un village que dans une ville (même petite) qui laisse beaucoup plus de place à l’individualité."
Mais, à force de persévérance, le projet a pris forme et c’est pas moins de 30 acteurs qui répètent chaque semaine pour être fins prêts les jours J.
La mascarade sera à la fois traditionnelle et
innovante. Traditionnelle car l’ensemble des personages clés de la
mascarade seront présents et car d’anciennes danses referont leur
apparition ; et innovante sous plusieurs aspects, avec des petites
surprises tout au long des représentations, comme par exemple les
Xorrotxak qui seront interprétées par deux filles.
Des surprises !
Bien sûr, les danseurs seront bien présents, entraînés par Martine Bordachar, tandis que son mari, Jean Bordachar sera le compositeur des différents chants et mélodies.
En dehors de la première sortie le 3 février à Mauléon (sur la place des allées) et de la dernière sortie le 21 avril à la Haute-Ville, la mascarade fera dix sorties à travers la Soule (voir par ailleurs). "Malheureusement, pour des problèmes de disponibilités de certains de nos acteurs principaux, nous avons été obligé de refuser l’invitation de 6 villages, et nous leur demandons de nous en excuser", regrette Jean Bordachar.
Malgré les incertitudes qui planent sur l’origine de la
mascarade, on peut être sûr que les mascarades de cette année mettront
la bonne humeur partout où elles passeront.
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