Dokumentuaren akzioak
Gauargi prépare son 22e festival
Les pays invités sont la Côte d’Ivoire, la Colombie, le Sri Lanka, la Pologne, la Biélorussie, ainsi que le Pays basque, représenté par cinq ou six groupes et la France, représentée par un groupe des Deux-Sèvres. La présence de certains pays dépendant des visas, chaque année, les organisateurs font face à des surprises de dernière minute.
Environ 300 enfants, de 9 à 15 ans, participeront. 107 jeunes devront donc trouver une place en famille d’accueil, l’objectif étant d’échanger entre les cultures.
Le festival s’étendant de plus en plus, avec des animations sur Bassussarry et Saint-Pée-sur-Nivelle, le réseau de familles d’accueil grandit lui aussi. « Cette année, nous proposerons aux villages alentours, une animation de rue. Chaque année, nous allons aussi sur Cambo et les défilés remportent un vif succès », précise le nouveau vice-président, Claude Iruretagoyena.
Un nouveau président
L’assemblée générale qui s’est déroulée le 20 janvier dernier a mis en place un nouveau bureau (lire par ailleurs). La présidente, Sylvie Lacau passant le flambeau à Jon Iruretagoyena. Père et fils se retrouvent donc à la tête de ce festival qu’ils connaissent très bien, puisque le chorégraphe Claude Iruretagoyena a participé à sa fondation.
Le festival Gauargi collaborera de nouveau avec l’hôpital de Bayonne et y fera quelques animations en pédiatrie ainsi que dans le hall d’accueil.
Gauargi affiche une assez bonne santé mais l’équilibre budgétaire reste fragile : « Nous avons connu une hausse de fréquentation l’an passé. Même en entrées payantes, les aménagements sous le chapiteau ont eu de très bons retours. Cette année nous y amènerons encore des améliorations et proposerons quelques nouveautés dont des ouvertures sur des danses d’autres genres », confie Claude Iruretagoyena. Grâce au travail annuel de bénévoles fidèles et surtout au soutien des partenaires, le festival a encore de beaux jours devant lui.
Dokumentuaren akzioak