100 danseurs pour un second réveil de l’ours

Un spectacle grandiose qui sera accompagné, comme à Itxassou, des percussions et des gaitas de Burunka.Sur les traces d’un zirtzil bourru, confronté aux événements géniteurs du carnaval, Hartza Iguzki met en scène le réveil de la nature et de l’ours, qui sort de son hibernation, mais aussi le masque expression de la double personnalité ou encore les oppositions, celle de la chair et de l’esprit, de l’instinct et de la raison ou la confrontation avec l’ordre établi, les excès du carnaval et le procès qui les sanctionne. Plusieurs créations s’ajoutent à celles existantes pour donner corps à toute l’histoire. Ce seront le domptage de l’ours, une séquence mythologique, les différentes luttes pour le pouvoir, les incursions des animaux, les rythmes des percussions. Animaux, éléments de la nature, esprits, zirtzil, acteurs du procès, ours, personnages de la mythologie, chants, cuivres et percussions font résonner la tradition du carnaval au sein de l’association d’Itxassou Errobiko Kaskarotak.